Les circonstances de mon histoire ont fait que je me suis souvent auto-imposé des choix, des rôles… qui au fond ne m’appartenaient pas ; tout l’enjeu consiste maintenant à retrouver/reconstruire un peu de vérité et d’authenticité.
Alors j’apprends (petit à petit) à vivre de nouvelles étapes, évidentes et essentielles, mais que je m’étais interdites jusqu’à présent, au prix d’un mal-être qui a fini – heureusement – par devenir inacceptable.
Ainsi, dans ce nouveau sentiment d’existence, j’en viens désormais à m’autoriser :
– le droit d’être là
– le droit d’être moi
– le droit d’être aimé
Et je me mets donc à apprécier le soulagement, mais aussi l’émotion profonde, qui vont évidemment avec…
Cela peut sembler d’une incroyable banalité et pourtant, pour moi comme pour beaucoup, c’était loin d’être gagné !
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